Découverte de l'Ouzbékistan

Voyage organisé par Arts et Vie du 11 au 21 septembre 2018

Nous avons découvert un pays fascinant au carrefour des routes de la soie.

Tulkin, notre excellent guide Ouzbek, nous a transmis sa passion pour son beau pays, ses monuments magnifiques et raconté l'histoire mouvementée de cette région. 

Durant ce voyage nous avons eu très chaud dans la journée (35° et +) et des matinées fraîches (15°). Le ciel d'un bleu azur était très pur. Les conditions idéales pour un tel voyage.

Tachkent, la capitale, est une ville verte, moderne, reconstruite après le tremblement de terre de 1966.

 Voici un petit aperçu des visites effectuées : le vieux Tachkent et l'immense place khast-Imam avec ses mosquées, minarets et médersas. Les médersas sont des écoles coraniques.

    

   Des mariages tout juste célébrés dans l'église orthodoxe russe.

   

Le métro superbement décoré par des artistes Ouzbeks.

      

 Les immenses marchés très colorés, débordant de fruits et légumes.      

   

Et le non , pain sans levain délicieux quand il sort du four.

Les arts décoratifs sont très présents : tapis, céramique, berceaux peints, marionnettes en papier mâché,...

    

Samarcande, ville éblouissante avec le Régistan, ensemble monumental construit par Tamerlan, composé de trois medersas occupées maintenant par des artisans. C'est grandiose le jour, magique la nuit.   

   

   

L'intérieur est tout aussi magnifique avec sa décoration aux feuilles d'or ou en mosaÎque d'un bleu profond.

   

L'immense nécropole de Chah-i-Zinda, longue allée où reposent les proches de Tamerlan.

   

Les mosaïques et les coupoles bleues comme celles de la mosquée Bibi Khanoum, construite pour l'épouse favorite de Tamerlan.

   

 Le mausolée de Tarmerlan richement décoré.

   

  Chakhrisabz, ville natale de Tamerlan située à 80 km au sud de Samarcande. Il ne reste du Palais Blanc Ak Seraï que les tours d'entrée.

On peut cependant imaginer la splendeur passée en admirant les murs et leur diamètre. La ville possède de larges avenues arborées très propres.

    

  Au centre l'imposante statue de Tamerlan.

Et bien sûr des mausolées, la mosquée au dôme bleu, la crypte de Tamerlan

   

Retour à Samarcande par les champs de coton, culture intensive voulue par les Soviets. Les importants volumes d'eau détournés pour l'irrigation ont fini par assécher la mer d'Aral.

La ville de Boukhara a un charme fou où il est agréable de se balader de jour comme de nuit.

La magnifique façade de la medersa Divan Beghi est ornée d'une mosaïque polychrome représentant un envol de cigogne vers un soleil à visage mongol.

 De jour comme de nuit, on ne peut se lasser d'admirer le minaret Kalon ...

   

Une architecture différente aussi pour ce très beau mausolée des Samanides construit en briques cuites d'argile, cimentées au jaune d'oeuf et au lait de chamelle !

   

   

La mosquée Bolo-Haouz (XVIIIe), raffinée avec ses fines colonnes en bois sculpté, domine le bassin face à la forterese. 

La citadelle de l'Ark (Xe), résidence des émirs de Boukhara jusqu'en 1920.

Les Ouzbeks aiment beaucoup être prises en photo avec les touristes et même le réclament ! C'est un peuple très accueillant, attachant.

Un petit aperçu de la ville, de ses ruelles, du bassin central entouré de cafés. Une douce ambiance où il fait bon flâner et prendre un verre.

    

 Nous avons découvert un peu à l'écart de la ville, après avoir emprunté une dédale de ruelles, la  très typique merdesa Char Minor (1807) et ses quatre tours décoratives symbolisant les villes de Damas, Boukhara, Samarra et Bagdad.

 Situé aussi à l'extérieur de la ville, le palais d'été de l'émir (Sitoraï-Makhi-Khosa) fut construit en 1911 par les Russes pour éloigner de l'Ark le dernier émir.

   

 Trois frères du prophète sont inhumés dans l'impressionnante nécropole de Tchor Bakr.

 Arrêt pipittoresque sur la route désertique menant à la cité médiévale de Khiva, un maigre buisson fera l'affaire.

Entourée de fortifications en pisé crénelées, Khiva semble sortir d'un décor des Mille et une Nuits.       

   

      

Medersas, minarets et mausolées se succèdent le long de ses ruelles étroites et sinueuses.  

   

Le Kalta Minor (1852), minaret joliment décoré dans une déclinaison de bleu, n'a jamais été achevé. Il aurait été l'un des plus impressionnants de la région.

Les portes de la ville toutes plus jolies les unes que les autres.

   

 Des comédiens Ouzbeks pendant le tournage d'un film dont la vieille ville est le décor.

Une destination de rêve que nous recommandons à tous les amoureux des beaux voyages.